lundi 12 novembre 2018

Joseph Rulot et Jules Brouns : deux sculpteurs avec des attaches herstaliennes très fortes


Le Monument du Souvenir du cimetière de Rhées est signée Jules Brouns «qui s'est scrupuleusement inspiré de l'ébauche que Rulot malade avait modelée dans les derniers mois de sa vie ». Cet œuvre est ainsi un témoignage vivant de fidélité en complémentarité entre maitre et élève.
Elle avait été commandée dès octobre 1914 à Joseph Rulot par le Comité de l'Œuvre du Souvenir. La maquette était déjà achevée le 14 novembre. Mais vu la présence des allemands, le monument sera inauguré seulement en 1920. Le comité du monument réunit les fonds nécessaires par une souscription à Herstal qui vote aussi un subside communal de 22.500 F.
La figure du Souvenir relève incontestablement du style de Rulot – même si elle est signée  Brouns. Brouns spécifie lui-même avoir voulu respecter l'ébauche de Rulot : « Celui-ci n'entend pas être autre chose que l'exécuteur matériel de l'œuvre, dont la conception décorative est entièrement due à son maître regretté. Il s'est scrupuleusement inspiré de l'ébauche d'ailleurs très nette et très vivante que Rulot malade avait modelée dans les derniers mois de sa vie ».
La stèle est du grand architecte Paul Jaspar, qui dira de Rulot : « Esquisseur, il demeura toute sa vie, lâchant la proie pour l'ombre ».
Et  lors d’une conférence à l'Académie royale de Belgique en 1931: «passait pour un paresseux parce qu'il n'avait jamais exposé, avait trop travaillé, trop rêvé». Rulot est un éternel insatisfait : «rêvant de grandes choses, qu'il réalisa rarement de façon définitive, parce qu'il voulut améliorer, préférant le recommencement à l'achèvement d'une œuvre qu'il jugeait imparfaite. S'il nous reste quelque chose de lui, c'est à ses amis qu'il le doit : sans eux, rien ne subsisterait. Sa modestie s'est opposée à son triomphe ».
Modeste, il l’était. Paresseux, il ne l'était pas. Ainsi, il avait réorganisé la section de sculpture à l'Académie, se dépensait sans compter pour ses élèves, ce que ceux-ci appréciaient, et les intéressait par sa culture. Tous cependant, s'accordent à le trouver rêveur. C'était également un bourru, adversaire des mondanités. « Rulot en redingote, avec sa tête de Christ ravagé... un col et une cravate !... »
Pour certains, le sculpteur, une fois satisfait de l'ébauche en terre, se désintéresse de l'achèvement : « Je fais, refait, ‘rerefait’ ». Je crois qu’ils se trompent : ce n’est pas spécialement un désintérêt, c’est plutôt une question philosophique : à quel moment une œuvre est achevée ? La Pietà Rondanini est une sculpture en marbre de Michel-Ange. Un musée au Castello Sforzesco de Milan est dédié rien qu’à cette oeuvre. Michel-Ange y travaillait encore six jours avant sa mort, survenue le 18 février 1564. Mais qui oserait affirmer qu’elle est inachevée ?

Rulot et son exécuteur testamentaire Brouns

Qui était Joseph Rulot ? Le 29 janvier 1853, Madame Rulot met au monde deux enfants, Joseph-Louis et Maria. Le père destine son fils à la carrière d'artisan tailleur de pierre. Joseph s'inscrit à l'Académie royale des Beaux-Arts de Liège en 1871 où il suit les cours jusqu'en 1881. Brouns explique commen «Joseph Rulot continua après ses études artistiques l'exercice de sa profession de sculpteur sur bois, qu'il tenait de son père ; poursuivant le long apprentissage de statuaire dans des conditions très difficiles; souvent ne pouvant étudier qu'après une longue journée de dur labeur, il sut acquérir les connaissances indispensables ».
En 1904, il est nommé professeur de sculpture à l'Académie. L'artiste est un temps membre de la Commission administrative du Musée des Beaux-Arts. Mais Rulot expose peu car « il s'est tenu à l'écart avec une rigueur qui n'a pas manqué de desservir sa renommée ».
Dès 1907, il est confronté à des ennuis de santé. Maria s'occupe de lui : «sœur dévouée et admirable, elle adorait son ‘Joseph’, sacrifiant sa vie, simplement, au ‘bourru bienfaisant’ ». Rulot s'éteint à Herstal le 16 février 1919.
Jules Brouns reprend en 1919 son atelier, au 28 de la rue Derrière Coronmeuse. Il voulait « laisser croire, et rien de plus, qu'il était l'exécuteur testamentaire de son vénéré maître Joseph Rulot ». Il mène à bien plusieurs commandes de Rulot, sur base des esquisses du maître, notamment le monument de Rhées.
Comme Rulot, Jules Brouns est d'abord tailleur de pierre avec son père. Il s'inscrit à l'Académie royale des Beaux-Arts où il reçoit l'enseignement de Joseph Rulot. Brouns est ensuite professeur de modelage et de dessin.
À l'inverse de Rulot, il va jusqu'au bout de ces réalisations. « Il taillait lui-même ses marbres et regrettait de ne pouvoir couler ses bronzes ; lorsque ceux-ci revenaient de chez le fondeur, il y travaillait encore pendant des heures ». Le sculpteur décède à Herstal le 26 septembre 1971. Il fut membre fondateur du Musée communal.

Monument à Oscar Beck, 1903

Je n’ai pas trouvé des indications directes, mais sur base du peu que je sais de lui, cela me semble évident que ce soit Rulot, avec sa tête de Christ ravagé, et la fibre sociale, est choisi  pour le Monument Oscar Beck (1903) au cimetière de Foxhalle à Herstal.
En 1875 Oscar, jeune militant de la première Internationale, travaille à l’administration communale de Liège où il est suspendu avec privation de traitement suite à son activité militante. Il tombe gravement malade en 1891 et s’établit à Herstal où il meurt en 1894, à l’âge de 44 ans. « D’un désintéressement absolu, il consacra un certain nombre d’heures à gagner son pain quotidien. En dehors de ce temps, il refusait tout travail rétribué, pour consacrer son temps à la diffusion de ses idées ».
Oscar Beck était un ami intime de Célestin Demblon. Il attribuait l’origine de sa pleurésie qui amena sa mort au refroidissement à la sortie d’un meeting au casino Charlemagne, avec Demblon.  La patronne du Casino qui se rend compte qu’il s’agit d’un meeting révolutionnaire fit couper les gaz en criant : ‘c’est des moudreus dai ! C’est des assassins ! ‘. Faute de lumière, la salle fut évacuée (Collart-Sacré, La Libre seigneurie de Herstal, tII).
Beck avait tellement de sympathie auprès des travailleurs que le  Conseil communal lui attribue une concession gratuite en avril 1896, malgré sa courte présence à Herstal. Le monument a été payé par souscription auprès des sympathisants socialistes qui, je suppose, désignent le sculpteur. On peut d’ailleurs penser, à partir de commandes comme un projet de façade pour la Populaire à Liège et une Marianne (1987 (?), détruite) pour la Maison du Peuple d'Angleur que Rulot était fort proche du jeune Parti Ouvrier.
Le Conseil donne aussi son nom à la place en décembre 1913.
Sur un impressionnant socle cubique en calcaire portant l'inscription « A la Démocratie, à Oscar Beck », se dresse la figure en bronze. Le vent prend doucement dans la robe et dans le manteau. Cet effet de vent une constante de l'esthétique de Rulot. Rappelons-nous la statue du Souvenir du cimetière de Rhées.
Herstal a encore une rue Oscar Beck derrière le terril de la Petite Bacnure. http://www.ecole-jacques-brel.be/Historique.html  En 1972, Jacques Brel tourne en Belgique «  Le Far West » sur la place Oscar Beck qui deviendra en 1974 la place Jacques Brel et qui donnera son nom à cette école fondamentale communale située dans le quartier de la préalle-Bas à Herstal.

Place Licour

En déhors de ce monument de Rhées, Brouns a sculpté aussi le monument érigé en 1932 place Licour en souvenir des combats qui eurent lieu de la rue Clawenne à la place Licour le 6 août 1914. Ici c’est bien son style, avec des lignes plus raides. Le relief rappelle La Marseillaise de Rude, sur l’arc de triomphe de l’Étoile à Paris. Sa stèle peut être rapprochée du phare à la statue d’Albert Ier de Marcel Rau, sur l’île Monsin. Une haute tour à quatre faces présente à l'avant, en relief de pierre bleue, la Patrie appelant aux armes les soldats et les volontaires. Ce relief rappelle La Marseillaise de Rude, sur l’arc de triomphe de l’Étoile à Paris ; mais Brouns à remplacer l’expressivité belliqueuse par un idéalisme quelque peu chevaleresque. Le soldat belge, pour vaillant qu’il soit, n’est pas l’agresseur, mais un patriote qui défend l’intégrité du territoire. Sa stèle peut être rapprochée du phare à la statue d’Albert
Ier de Marcel Rau, sur l’île Monsin. Sur la même place, davantage vers la Meuse, se dresse le banc de la Liberté, monument plus modeste, commémoratif de la Deuxième Guerre. Le banc de la Liberté  est conçu par l'architecte Sluse. La Liberté, figure très épurée, frontale, portant des deux mains le flambeau de la Vérité, c’est Brouns. Ce monument devait « rappeler les souffrances héroïques du peuple belge, de ses prisonniers et déportés politiques, honorer le courage de ses résistants et rendre hommage aux armées alliées et particulièrement à la 3e division blindée de la 1re Armée américaine, qui nous ont débarrassés du joug nazi ». 

Le Monument à Nicolas Defrecheux 

L'idée d’un Monument à Nicolas Defrecheux  est lancée en 1895. Jamais réalisé, il marquera pourtant un demi-siècle de la vie artistique liégeoise.
La concurrence était rude. Il y avait plusieurs candidats. Le jury se réunit la première fois le 3 novembre 1895 et constate que seul Rulot a achevé son projet. Rulot accepte d'octroyer un délai supplémentaire aux autres. Le 24 novembre huit projets sont sur la table, dont un d'Oscar Berchmans et de Léon Mignon, pour ne reprendre que les plus connus. Le projet de Rulot est adopté à l'unanimité. L'Avant-Garde, présidé par Gustave Serrurier, consacre un souper mensuel à Rulot : ce sera le banquet Rulot.Trois des artistes lésés, Berchmans, Mignon et Bouhon, mauvais perdants, adressent une lettre ouverte à la presse.
C’est Rulot qui prononça en 1905 un discours au Congrès Wallon, l'une des manifestations officielles de l'Exposition universelle de Liège.
Une commission technique préconise l'édification du projet au bord de l'étang d'Avroy dans l'axe du pont de Commerce (aujourd’hui Albert Ier), mais le Conseil communal rejette cet emplacement. La Commission demande l'érection d'un gabarit qui est promené un peu partout. Un commissaire propose même qu'on mette alors le monument sur roulettes et qu'on le promène partout.
Le Conseil décide en 1908 de placer le monument au parc de la Boverie. Mais les ennuis ne viennent que de commencer. Le Conseil communal discute une journée entière de la valeur artistique de la maquette et Joseph Demarteau, directeur de la «Gazette de Liége» (propriété de l'évêque Mgr Van Bommel, le journal a connu quatre générations de Joseph Demarteau à sa direction) partit en guerre contre la nudité de la Fantaisie
Le projet connait littéralement des hauts et des bas : initialement prévu à 6 m (une note de frais de 1902 donne une hauteur de 435 cm pour la Légende, 6 mètres pour le massif central et des dimensions au sol de 750 x 525 cm) ; un second projet de 1908 monte à 9 m. A la suite de la décision d'ériger le monument à la Boverie, Rulot, en raison de la grandeur des arbres, veut arriver à 12 m.
Une note de 1922 prévoit 34 figures dont 5 moutons.
Rulot voulait son monument en pierre de Meuse, les figures principales devant être en bronze. Mais en 1907, une seule statue était encore prévue en bronze : la Poésie, en haut du monument
Evidemment, le style de travail de Rulot n’est pas de sorte à arriver à une unanimité. Rulot, toujours insatisfait, recommença souvent telle ou telle figure, voire toute la maquette sans prévenir le Comité et sans respecter les délais. Jaspar raconte la visite de 1911 du Comité au moulage au 1/3 de la grandeur chez Rulot.: « je vois sa maquette entre ciel et terre, telle qu'il l'a travaillée : sa masse pèse sur le vide entre les tréteaux qui supportent la selle ; Rulot trouve tout cela naturel. Nulle coquetterie dans la présentation : c'est son travail dans sa plus simple expression ; difficile de le persuader qu'un monument sans base, c'est un tableau sans cadre !... ‘N'as-tu rien pour boucher ce vide ?’ ‘J'ai ce qu'il faut’, dit sa sœur, qui va chercher deux couvertures de laine, rouge vif... Du papier d'emballage ferait mieux notre affaire ; on en trouve et nous voilà clouant. »
En 1912  on est près du but : Jaspar termine le cubage de l'appareillage et fournit la documentation en vue de l'adjudication. En 1914, la Commission des Beaux-Arts se rend à l'atelier de Rulot pour examiner la maquette définitive, mais quelques jours plus tard, c’est la guerre.
Rulot meurt en 1919 sans avoir réalisé son monument. Son légataire universel, Jules Brouns, accepte de poursuivre l'œuvre. Le comité reprend son travail la même année et sollicite de nouveaux subsides, en vue de l'érection pour le centenaire de la naissance de Defrecheux, en 1925. La maquette est exposée au Salon triennal de 1921. J n’ai pas réussi à savoir ce qui a fait capoter cette nouvelle tentative.
En 1937 est évoquée l'idée d'ériger le Monument pour l'exposition internationale de l'eau de 1939, face au pont de Coronmeuse. Le projet avorte.
La légende- ébuache
En 1945, le bourgmestre Grusselin rend encore visite à Brouns mais le 16 janvier 1946, la Commission communale des Monuments et des Sites rend un avis négatif. La maquette – plâtre – du projet définitif – 165 cm – est conservée au Musée communal de Herstal.
Léon Souguenet, co-fondateur du Pourquoi Pas ? en 1910, vanta un jour le moulage de la statue représentant la Légende, il y vit l’âme wallonne et déclara qu’à elle seule cette statue suffisait.
La Légende qui se trouve dans le parc de la Boverie est un des seuls statues exécuté à une taille ‘statue’. Il y a évidemment encore pas mal de vestiges des multiples maquettes. Elle certes beaucoup plus petite que la taille de douze mètres (!) prévue à l’origine, elle fut sculptée dans la pierre à partir d’une maquette de Rulot en 1956 et installée à son emplacement définitif au milieu des années 1960. La statue est évidemment dénaturée de sa signification première. Elle devait au départ faire partie d’un ensemble de quatre figures allégoriques (La Légende, La Poésie, La Fantaisie et La Naïveté) et de divers personnages issus des poèmes de Nicolas Defrêcheux, ainsi qu’une fontaine et un portrait en médaillon du poète.

Ceci dit, l'idée à la base du monument explique peut-être le peu de succès de la souscription publique en dehors de la Cité ardente. Même si Lèyîz-m’ plorer était devenue en 1854 en peu de temps un immense succès populaire . Certains y voient une adaptation d’un air en vogue, extraite de l’œuvre Gastibelza, sur paroles de Victor Hugo et musique du compositeur français Hyppolite Monpou chanté ici par Brassens.
Balayant les vieux préjugés qui perduraient à l’égard du wallon, Leyîz-m’plorer est la première chanson à exprimer en wallon une véritable poésie lyrique Après tout, l'œuvre de Defrecheux se résume à un ouvrage de 200 pages. Il y eut d'ailleurs à Liège un Comité du Monument aux Poètes wallons qui entra en concurrence avec le Comité du Monument Defrecheux.
Rulot tint en tout cas la Ville pour responsable de l'échec du projet. Aigri, il écrivit dans son testament qu'il lègue tous ses biens à son élève Jules Brouns et stipula qu'aucune de ses œuvres ne pourrait entrer dans les collections de la Ville : « n'ayant pas été désiré de mon vivant, je suis inutile après ma mort ». Sa volonté fut respectée tant par Jules Brouns que par la donation Brouns.

La Dame Blanche

Brouns a évidemment aussi ses œuvres à lui, comme La Dame blanche ou une des deux statues surplombant l’auvent de la cour du Lycée Léonie de Waha.
La grande statue inaugurée le 21 septembre 1952, qui domine la rue Fond des Tawes, est sa main. La maquette est exposée au Musée de Herstal. Ce  n’est pas la Vierge mais la Dame blanche, le nom du réseau de résistance de Walthère Dewé, chef du réseau durant la Première Guerre et abattu par les Allemands durant la Seconde. Le mythe de ‘La Dame blanche des Habsbourg’ annonce la mort prochaine d’une série de Habsbourg, un rève de Dewé qui se réalisera en 1918 : le 11 novembre Charles François Joseph de Habsbourg-Lorraine signe sa renonciation au trône au château de Schönbrunn, scellant ainsi la fin de plus de 600 ans de règne des Habsbourg sur l'Autriche.
En 1889, un domestique aurait vu une dame blanche roder dans le parc de Mayerling la nuit du célèbre drame. L'archiduc héritier d'Autriche Rodolphe, fils de l'empereur d'Autriche et de l'impératrice Élisabeth, dite « Sissi », est retrouvé mort en compagnie de sa maîtresse, la baronne Marie Vetsera, dans son pavillon de chasse de Mayerling. Et apparemment, cette histoire trotte dans la tête de l'impératrice Sissi puisqu’elle prétendit, le 30 août 1898, soit 11 jours avant son assassinat à Genève, avoir vu distinctement la dame blanche la nuit. Mais le mythe remonte à l’empereur Charles Quint à qui une dame blanche serait la veille de sa mort. Au début du xvie siècle de nombreuses grandes familles aristocratiques européennes avaient leur dame blanche attitrée. On trouve des dames blanches attachées aux Habsbourg, aux Hohenzollern, aux Brandebourg, aux Bade…

Sources

Joseph Rulot et Jules Brouns Deux sculpteurs à Herstal.
L’article fait le point sur les œuvres et archives des Collections artistiques de l’Université de Liège : huit bustes et 14 reliefs. Il apporte quelques informations inédites puisées dans le volumineux dossier sur le Monument Defrecheux conservé à la Bibliothèque des Dialectes de Wallonie aux Chiroux à Liège
L’article est basé sur Art&fact, n° 12, 1993, p. 123-148.

http://www.koregos.org/fr/paul-jaspar-joseph-rulot/10875/ Paul Jaspar, Joseph Rulot, Bulletin de la Classe des Beaux-Arts de l’Académie royale de Belgique, 1931, 5ème série, tome 13, p. 88-103
Le sculpteur Joseph Rulot et le monument à Nicolas Defrecheux, Actes du LIIe Congrès de la Fédération des Cercles d’archéologie et d’histoire de Belgique, Cinquième Congrès de l’Association des Cercles francophones d’histoire et d’archéologie de Belgique, Actes II, Namur, s.d., p. 551-560.
Rulot, Joseph, dans Nouvelle Biographie Nationale, Académie royale de Belgique, t. 10, 2008, p. 325-327.
Corinne Godefroid, Une identité taillée dans la pierre. Le Monument wallon dédié à Nicolas Defrecheux, dans Enquêtes du Musée de la Vie wallonne, 2002-2004, n° 241-244, p. 307-346.

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