Lors de notre 48ième balade-santé nous avons arpenté le nouveau Liers. Je pourrais l’appeler Balade au cœur du changement. Mais je crois que ce titre est déjà prix par écolo. Arpenter est le mot qui sied, puisque nous serons en plein dans des projets urbanistiques. Elle part du Smash51 , rue Provinciale 51 à Liers.
Du foot à la place du tennis au
Smash?
Au lieu d’un club de
tennis, nous avons failli y avoir des terrains d’UrbanFootball. Le T.C. Smash
51, installé à Liers depuis 1980, allait presque s’arrêter en avril 2014. Le couple Tilkin qui avait été
27 années à la tête du club, voulait vendre le site à une société française Urbanfoot
(CA en 2012 : 8 millions d'euros) qui se voyait même octroyer des subsides
par la Région wallonne (La Meuse 31 juil. 2013). UrbanFoot se joue sur un terrain en gazon
synthétique de la taille d'un terrain de tennis. On loue le terrain entre 50 et
120 euros de l'heure.
Herstal se disait
inquiétée par des nuisances que cette activité pourrait provoquer dans le
paisible village de Liers: du mini-foot, ce n'est pas du tennis. Bruits
nocturnes, parkings sauvages, mobilité, etc. Et puis, ce mini-foot aurait pu concurrencer
les halls sportifs communaux. La Ville promettait un coup de pouce, à condition
que l'asbl «Promo Smash 51» accueillerait des enfants des écoles de Herstal aux
heures creuses pour s'initier aux rudiments du tennis. Et l'entreprise de
formation par le travail «Work'inn» aurait pu venir renforcer les cuisines du
restaurant. Même si Frédéric Daerden jugeait « que la ville n'est pas acheteuse et n'a pas pour vocation de gérer un
club de sports» (La
Meuse 9 sep. 2013).
Le Collège communal s’engage à
assurer « le maintien d’une activité tennistique forte et durable à Herstal »
Ce coup de pouce viendra d’Urbeo. Tu me
diras que c’est plutôt l’apanage de l’échevin des sports, mais c’est la Régie communale autonome immobilière
de Herstal qui est venu à la rescousse. Un peu étrange
pour ce bras armé de la ville qui sert au départ « à soutenir la
réhabilitation de quartiers fortement marqués par le déclin industriel. Cette
structure juridique 100% publique permet de gérer certaines activités à
caractère commercial et industriel de manière décentralisée ».
Mais on ne s’arrêtera
pas à ce détail. Le Collège communal s’engage à assurer « le maintien d’une activité tennistique forte et durable à Herstal
» et Urbeo acquiert en juillet 2014 le complexe tennistique grâce à un subside Infrasports
de 540.340 €, et rénove l’éclairage, l’électricité, installe un accès PMR,
nouveaux vestiaires, un raccordement égout, etc.. Urbeo occupe un collaborateur
à temps partiel qui assure l’entretien quotidien du complexe composé de onze
terrains en brique pilée dont cinq couverts et six éclairés à l’extérieur, d’un
club house, de parkings sur 11.000 m². Le
club se dote aussi d’un terrain de Padel.
Le club revit et compte
avec ses 400 membres affiliés en été et autant de membres d’une école de tennis
parmi les dix plus grands clubs de Wallonie ouvert toute l’année. Selon l’administrateur-délégué
Michel Mouillard, le club est près de la saturation et songe à aménager de
nouveaux terrains. Mais il faudrait que la Ville rachète des terrains (La Meuse 25 février 2017). Quels terrains ? On peut deviner…
Non, Daerden ne déménage pas à Liers ?
En 2013 une rumeur
circule sur le bourgmestre qui aurait l'intention de déménager rue Provinciale,
juste en face du Smash 51, et ne voyait pas d'un bon œil l'arrivée des cohortes
de véhicules que supposent les matches de mini-foot à toutes heures du jour et
de la nuit. Pour son porte-parole Eric Wiertz, «Frédéric Daerden était intéressé par une maison à Liers, mais plus
maintenant. Il a décidé de rester au centre de Herstal où il habite depuis une
dizaine d'années» (La Meuse 9 sep. 2013).
Qui est derrière le permis d’urbanisme N°216/2018 ?
Cinq ans plus tard le Conseil Consultatif
d’Aménagement du territoire (CCATM) reçoit le permis N°216/2018 pour «la
transformation et réhabilitation de la ferme Royer en 25 logements ». Le
demandeur est la SA WDDM, représentée par Monsieur Patrick Deroanne. Je n'ai
pas trouvé les comptes de cette Société Anonyme WDDM à la centrale des bilans
de la BNB. Mais, pour être sûr, il faudrait avoir son numéro de facturation,
son numéro d'entreprise. Elle peut être enregistrée sous un autre nom, ou
encodée à la BNB sous un autre nom. En revanche, il y a deux sociétés situées à
l’adresse de ce Patrick Deroanne, dont Dero Invest, une nouvelle structure
chargée de contrôler l'ensemble de ses activités. Il me semblerait logique que
l’échevinat d’urbanisme vérifie un peu l’identité des firmes derrière un
permis. Ont-ils omis ce contrôle parce que M. Deroanne a été témoin de mariage de Frédo
en été 2018 ? « Les fiancés ont choisi des amis proches comme
témoins. Patrick Deroanne, fondateur de la société éponyme spécialisée dans la
fourniture de matériel de bureau, sera celui de Frédéric Daerden » (La Meuse 28 juin 2018).
Et on apprendra par la
bande que Frédo est preneur pour le corps de logis de la ferme…. Jusqu'en 2020, lorsqu'il s'installe dans une maison au centre de Liers.
Une ferme reprise dans l’Inventaire du Patrimoine Immobilier
Mais il y a plus. On ne signale au CCATM que
cette ferme est reprise dans l’Inventaire du Patrimoine Immobilier (IPIC). A
juste titre, puisque cette ferme a une histoire millénaire. Pour moi, c’est un
élément essentiel dans ce permis. Ne fallait-il pas l’avis de l'Agence wallonne du
Patrimoine (Awap) sur le projet ? Le 22 décembre 2018 j’envoie un mail à
notre échevine Isabelle THOMSIN qui me
répond : « Tout d’abord, une petite nuance, un bien repris à l’inventaire
du patrimoine immobilier n’est pas ‘classé’ comme monument, on lui reconnaît
simplement une valeur patrimoniale à tenter de préserver. Le service de l’Awap
n’est pas automatiquement consulté. Mais la Ville a choisi de le faire.
photo jean baens |
Ce dernier a rendu
un avis défavorable en date du 12 novembre.
Toutefois
après analyse, nous estimons que la réhabilitation de l’ancienne ferme Royer
située en plein centre du noyau villageois de Liers en 25 logements améliorera
la qualité de l’espace bâti existant tout en préservant le patrimoine existant.
En effet, l’activité agricole n’est plus organisée sur le site de la ferme
Royer depuis déjà plusieurs années.
La
transformation et la réhabilitation de cette ancienne ferme, patrimoine
d’exception inscrit à l’inventaire du patrimoine Wallon, permettra la sauvegarde
d’un bien, témoin du passé, tout en lui redonnant une nouvelle fonction
permettant sa pérennité. Il s’agit donc de la valorisation et de la sauvegarde
d’un bâtiment à caractère patrimonial. L’espace existant permet cette
transformation en ne dénaturant pas l’espace environnant. De plus, le projet
prévoit l’aménagement d’espaces extérieurs qui tiennent compte des
caractéristiques du lieu.
En
effet, seuls des bâtiments venus se greffer au fil du temps et ne présentant
pas un caractère architectural intéressant seront démolis et seront remplacés
par de nouveaux bâtiments reconstituant la ferme en carré et préservant le
caractère exceptionnel du lieu. Les nouveaux volumes proposent une architecture
simple et modeste ne prenant pas le pas sur l’architecture des bâtiments
existants, ils s’intègrent au bâti grâce au choix des volumétries et matériaux
respectueux de l’existant et ils préservent le caractère homogène de la cour
intérieure.
Les
matériaux de façade, quant à eux, sont choisis de manière à s’harmoniser avec
le paysage et le cadre bâti existant.
L’aile
du corps de logis est préservée dans son intégralité ainsi que l’aile d’entrée
visible depuis la rue des Prairies. Les éléments bâtis constituants le
caractère exceptionnel et patrimonial du site ne sont en rien modifiés
(chainage, pierre de taille, moellons…).
photo jean baens |
Il faut
également savoir que les propriétaires, Monsieur et Madame Royer, ne
parvenaient pas à vendre le bien en raison de sa taille et de la vétusté des
bâtiments et donc seul un projet de cette envergure permettra la sauvegarde de
ce patrimoine en alliant, de manière judicieuse, la conservation du patrimoine
existant et l’architecture contemporaine.
De plus,
des bâtiments similaires existent sur l’entité de la Ville de Herstal et
ceux-ci, n’ayant malheureusement pu être réhabilités, présentent un caractère
de dégradation avancé et devront probablement être démolis faute d’avoir pu
être transformés à temps.
La Ville
peut s’écarter d’un avis extérieur moyennant motivation. Voici ce qui a motivé
l’avis favorable conditionnel de la Ville pour ce projet. Cependant, le projet
est actuellement soumis à l’avis conforme du fonctionnaire délégué du SPW. Son
avis devra être respecté pour la décision finale sur le traitement de la
demande.
J’espère
avoir répondu à vos interrogations et vous présente mes meilleures salutations
Isabelle Thomsin. »
La ferme Royer dans l’inventaire du patrimoine immobilier
Herstal a été une de premières villes à voir
une version digitalisé et actualisé de l’IPIC, l’inventaire du patrimoine
immobilier. 120 biens s’il te plait. Herstal a même organisé il y a quelques
années une expo pour fêter ça. Voici ce qu’il reprend sur cette ferme.
photo jean baens |
« La
ferme de l'Abbaye présente un plan en quadrilatère dont les parties les plus
anciennes remontant à la 2e moitié du 16e siècle ont été complétées au début du
18e siècle et aux 19e et 20e siècles.
L'ensemble
est bien représentatif de l'architecture rurale traditionnelle en Hesbaye
liégeoise et les fonctions des ses différentes ailes sont encore clairement
identifiables.
L'aile
d'entrée est percée par un portail en anse de panier daté de 1819 à la clé.
Vers la cour, la partie gauche de cette aile abrite une grange accessible par
un haut portail cintré dont le claveau central est daté de 1577.
Au fond
de la cour, le logis du début du 18e siècle est en briques et calcaire. Sa
façade de deux niveaux est percée de deux travées de hautes baies à croisée et
piédroits harpes, de part et d'autre d'une porte basse à linteau droit; perron
reconstruit au 19e s. À gauche, sous une même bâtière d'éternit à coyaux,
soutenue par des blochets, ajout postérieur d'une travée.
Les
autres ailes abritant des étables et des bâtiments utilitaires remontent aux
19e et 20e siècles ».
Je suis content que la Ville a consulté
l'Awap, et, bien sûr, La Ville peut s’écarter d’un avis extérieur moyennant
motivation. Mais j'attends avec impatience l’avis du fonctionnaire délégué du
SPW.
Seigneur de Herstal ou ‘avoué de Liers’ ?
Notre bourgmestre a donc voulu un moment s'sintaller dans le
corps de logis ! Porter le titre de Seigneur de Herstal était peut-être un
peu osé parce que Willem-Frederik d’Orange de la maison royale des Pays-Bas porte cetitre?
Avec la ferme il aurait pu porter le titre ‘avoué de Liers’. Ca remonte à 1012, lorsque l'empereur Henri Il alloua Liers à l'Abbaye
bénédictine de Florennes, qui vendit trois siècles plus tard ses biens liersois
au Chapitre Saint-Lambert qui désigna un avoué, un gérant en quelque sorte.
C’est Charlemagne qui désigna des avoués chargés de représenter l'évêque devant
les tribunaux, et d'exercer les pouvoirs administratifs et judiciaires ainsi
que de conduire auprès du souverain le contingent armé. C’est ainsi que le
Vieux Voué Jean I, fut honoré chevalier à l'issue de la bataille de Vottem
remportée le 19 juillet 1346 par les communiers liégeois, sur une
armée de chevaliers de haute noblesse commandée par le Prince-évêque.
Avec l'effondrement de l'Etat carolingien
l'avoué apparut surtout comme protecteur du domaine ecclésiastique sur lequel il
exerçait un droit de tutelle qui le mettait en situation d'exercer les pires
abus : toute action était bonne pour livrer au pillage les biens de l'église (J.L. Kupper. Op. cit. p 434 à 439)
Un titre a priori intéressant: une situation permettant
d'exercer les pires abus et piller les biens de l'église.
La ferme a été expropriée et vendu comme ‘bien
national’ en 1796.
La ferme est en zone agricole
Un autre aspect litigieux de ce permis d’urbanisme:
la ferme est en zone agricole sur le
plan de secteur, et ces 25 logements ne ressemblent pas à des box de chevaux ou
autre utilisation agricole. Lors de la présentation au CCATM on ne nous a pas
dit ça. On peut certes en zone agricole avoir une ferme et des étables. Mais
comment y justifier 25 logements ? L’intitulé du permis est à double
fond : « transformation et
réhabilitation de la ferme Royer ». Construire 25 logements à côté
d’une ferme, est-ce toujours une transformation ? On m’a répondu qu’une
demande de dérogation est en cours, et que si cette réponse serait négative, le
permis serait nul et non avenu. Attendons voir.
Je reste quand même avec deux questions :
comment éviter que ce genre de permis sont soumis au CCATM sans ces
informations essentielles, afin qu’on puisse juger en connaissance de cause ?
Etn’aurait-on pas pu demander une
dérogation au plan de secteur, AVANT de demander un permis d’urbanisme ?
L’échevine Thomsin évoque « un nouveau projet de Schéma de développement
territorial du Gouvernement wallon de juillet 2018 qui a comme objectif ‘la
lutte contre l’étalement urbain et l’utilisation rationnelle des territoires,
le développement socio-économique et de l’attractivité territoriale, la gestion
qualitative du cadre de vie et la maîtrise de la mobilité’. Le projet favorise
le renouvellement du bâti existant, en développant la création de logement dans
les noyaux d’habitat existants, en préservant le patrimoine par sa
réaffectation, en améliorant le cadre de vie par la création de logements de
qualité, et s’inscrit entièrement dans les objectifs du Schéma de Développement
Territorial ».
C’est un peu faible comme argumentation. Si on
veut lutter contre l’étalement urbain, ne faudrait-il pas éviter de prendre à
la légère les plans de secteur et, au moins, demander une dérogation avant de
lancer des projets.
Avec ça la dernière ferme en activité à Liers
disparait. Il est vrai que le fermier a déjà repris depuis quelques années une
ferme à Verlaine et n’utilisait que les bâtiments que pour le stockage. Il a
vendu pour sortir de l’indivision avec sa sœur. En plus, lors de la fusion des
communes, on a coupé le village rural de Liers de ses champs, qui ont rejoint
Juprelle. Certes, ces quelques hectares de terres agricoles sont enclavés entre
le Ravel et la Chaussée Brunehaut. Mais je ne saurais me défaire de l’idée
qu’il y a derrière tout ça une spéculation pour faire tomber le reste de ces
terres agricoles en terrains constructibles. Et là, c’est le jackpot.
Une ZACC (Zone d’Aménagement Communal Concerté )
Dans un document de 1348 on retrouve la rue
des Prairies qui débouchait sur un lieu-dit « devant l’Abbaye » et de là partait le sentier «Passay de l’Abbaye » vers Fexhe-Slins, disparu
avec la gare de triage. Dans la zone dite "Devant l'Abbaye" un projet
immobilier est lancé dans la ZACC (Zone
d’Aménagement Communal Concerté ; jusqu’en 1999 cela s’appelait une zone
d’extension d’habitat). On aménage dans le triangle formé par la rue
Thonon, la rue Provinciale et la Chaussée Brunehaut la voirie pour 95
logements. C’était une zone vouée au pâturage, mais au fil du temps le site a
été totalement enclavé. Cette parcelle agricole ne faisait pas l’objet d’un
bail à ferme mais seulement d’une mise à disposition verbale à titre gratuit et
précaire. Le site appartenait à un seul propriétaire ce qui a permis une
démarche d’ensemble. Heureusement, parce qu’un projet morcelle aurait buté sur
le problème d’accès : on y entre par la Chaussée Brunehault -11 mètres - et
on sort par la rue Léopold Thonon - 8 mètres
Le rapport urbanistique et environnemental a
exclu un accès par l’aire de parcage de l’AD Delhaize de la rue Provinciale,
parce qu’en cul de sac, mais n’exclut pas un développement foncier après
restructuration de cet espace et rationalisation, y compris le bâti le long de
la route provinciale.
La viabilisation du site coûtéra à la société
Batico 1.200.000 € soit +/- 35 € /m 2 ou 9.200 à 13.500 € par
unité de logement.
Cliquez ici pour le rapport d’incidence. Le site de la ZACC est traversé par un collecteur de l’AIDE canalisant
un ancien ruisseau traversant le village dénommé « Rigole de Liers ».
60 nouveaux logements sociaux
"cité des Prés"
Nous traversons la route provinciale via un
piétonnier qui nous permet de traverser deux ronds points et une route très
fréquentée.
Fin mars 2019 notre Société
Régionale du Logement (SRL) a inauguré 60 logements rues
de la Digue et de la Sucrerie (12 maisons 4 chambres, 1 appartement 1 chambre,
22 appartements 2 chambres et 25 appartements 3 chambre, dont 30 logements
adaptables PMR) Les premiers locataires arrivent.
Ca serait un beau
projet d’une des plus importantes sociétés de logements sociaux de Wallonie, si
l’autre côté de la médaille n’était pas la vente de la plupart des logements de
la cité à côté.
En 2010, un audit
révèle que notre SRL doit 2 millions d’euros à la société wallonne du Logement. Dans le cadre de son redressement, la
SRL de Herstal vend toutes les maisons d’avant 1950 (elle supprime aussi 30
emplois). Cela concerne une bonne partie de la Cité de Liers. 68 appartements à
2 chambres sont rénovés et isolés. Les 128 autres logements sont vendus. D’un
côté les 60 logements de la nouvelle cité ; de l’autre la perte de 128
logements.
La nouvelle cité a une toute nouvelle philosophie de vie et de voisinage. Les architectes (Pierre Maes & associés et Contrast Architecture) mêlent
habilement terrasses et jardins privatives et zones semi-publiques, sans
oublier le potager communautaire ; une philosophie qui permet de préserver
l’intimité des familles et leur permettre de mener une vie très conviviale.
Un beau maillage de sentiers
Tout autour de la
nouvelle cité la pression citoyenne a
permis une restauration des sentiers. Ce projet est parti
du plan cadastral de 1973 : la ruelle du Bot qui se prolonge dans la
ruelle de l’Enclos du Marly, la ruelle du Greffier, ainsi que la ruelle des
Prés. S’y est ajouté une venelle depuis la ruelle du Bot au lotissement de la
rue Tchérweus. Et cerise sur ce gateau : les passages dans la nouvelle
cité.
Je ne saurais mieux faire que de reprendre
l’appel du Comité : « Nous invitons tous
les Liersois et autres promeneurs à utiliser ces divers sentiers sans
modération. C’est gratuit, excellent pour la santé et cela permet à ceux-ci de
conserver leur place dans l’histoire de notre patrimoine ».
Sources
Nous avons arpenté Liers lors d’une balade
santé http://hachhachhh.blogspot.be/2015/03/balade-sante-liers-deux-ravels-et-un.html
Liers sur la carte Villaret de 1745 |
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