mardi 23 avril 2019

48ième balade-santé MPLP dans le nouveau Liers


Lors de notre 48ième balade-santé nous avons arpenté le nouveau Liers. Je pourrais l’appeler Balade au cœur du changement. Mais je crois que ce titre est déjà prix par écolo. Arpenter est le mot qui sied, puisque nous serons en plein dans des projets urbanistiques. Elle part du Smash51 , rue Provinciale 51 à Liers

Du foot à la place du tennis au Smash?

Au lieu d’un club de tennis, nous avons failli y avoir des terrains d’UrbanFootball. Le T.C. Smash 51, installé à Liers depuis 1980, allait presque s’arrêter  en avril 2014. Le couple Tilkin qui avait été 27 années à la tête du club, voulait vendre le site à une société française Urbanfoot (CA en 2012 : 8 millions d'euros) qui se voyait même octroyer des subsides par la Région wallonne (La Meuse  31 juil. 2013). UrbanFoot se joue sur un terrain en gazon synthétique de la taille d'un terrain de tennis. On loue le terrain entre 50 et 120 euros de l'heure.
Herstal se disait inquiétée par des nuisances que cette activité pourrait provoquer dans le paisible village de Liers: du mini-foot, ce n'est pas du tennis. Bruits nocturnes, parkings sauvages, mobilité, etc. Et puis, ce mini-foot aurait pu concurrencer les halls sportifs communaux. La Ville promettait un coup de pouce, à condition que  l'asbl «Promo Smash 51» accueillerait des enfants des écoles de Herstal aux heures creuses pour s'initier aux rudiments du tennis. Et l'entreprise de formation par le travail «Work'inn» aurait pu venir renforcer les cuisines du restaurant. Même si Frédéric Daerden jugeait « que la ville n'est pas acheteuse et n'a pas pour vocation de gérer un club de sports» (La Meuse 9 sep. 2013).

Le Collège communal s’engage à assurer « le maintien d’une activité tennistique forte et durable à Herstal »

Ce coup de pouce viendra d’Urbeo. Tu me diras que c’est plutôt l’apanage de l’échevin des sports, mais c’est la Régie communale autonome immobilière de Herstal  qui est venu à la rescousse. Un peu étrange pour ce bras armé de la ville qui sert au départ « à soutenir  la réhabilitation de quartiers fortement marqués par le déclin industriel. Cette structure juridique 100% publique permet de gérer certaines activités à caractère commercial et industriel de manière décentralisée ».
Mais on ne s’arrêtera pas à ce détail. Le Collège communal s’engage à assurer « le maintien d’une activité tennistique forte et durable à Herstal » et Urbeo acquiert en juillet 2014 le complexe tennistique grâce à un subside Infrasports de 540.340 €, et rénove l’éclairage, l’électricité, installe un accès PMR, nouveaux vestiaires, un raccordement égout, etc.. Urbeo occupe un collaborateur à temps partiel qui assure l’entretien quotidien du complexe composé de onze terrains en brique pilée dont cinq couverts et six éclairés à l’extérieur, d’un club house, de parkings sur 11.000 m².  Le club se dote aussi d’un terrain de Padel.
Le club revit et compte avec ses 400 membres affiliés en été et autant de membres d’une école de tennis parmi les dix plus grands clubs de Wallonie ouvert toute l’année. Selon l’administrateur-délégué Michel Mouillard, le club est près de la saturation et songe à aménager de nouveaux terrains. Mais il faudrait que la Ville rachète des terrains (La Meuse 25 février 2017). Quels terrains ? On peut deviner…

Non, Daerden ne déménage pas à Liers ?

En 2013 une rumeur circule sur le bourgmestre qui aurait l'intention de déménager rue Provinciale, juste en face du Smash 51, et ne voyait pas d'un bon œil l'arrivée des cohortes de véhicules que supposent les matches de mini-foot à toutes heures du jour et de la nuit. Pour son porte-parole Eric Wiertz, «Frédéric Daerden était intéressé par une maison à Liers, mais plus maintenant. Il a décidé de rester au centre de Herstal où il habite depuis une dizaine d'années» (La Meuse 9 sep. 2013).

Qui est derrière le permis d’urbanisme N°216/2018 ?

Cinq ans plus tard le Conseil Consultatif d’Aménagement du territoire (CCATM) reçoit le permis N°216/2018 pour «la transformation et réhabilitation de la ferme Royer en 25 logements ». Le demandeur est la SA WDDM, représentée par Monsieur Patrick Deroanne. Je n'ai pas trouvé les comptes de cette Société Anonyme WDDM à la centrale des bilans de la BNB. Mais, pour être sûr, il faudrait avoir son numéro de facturation, son numéro d'entreprise. Elle peut être enregistrée sous un autre nom, ou encodée à la BNB sous un autre nom. En revanche, il y a deux sociétés situées à l’adresse de ce Patrick Deroanne, dont Dero Invest, une nouvelle structure chargée de contrôler l'ensemble de ses activités. Il me semblerait logique que l’échevinat d’urbanisme vérifie un peu l’identité des firmes derrière un permis. Ont-ils omis ce contrôle parce que  M. Deroanne a été témoin de mariage de Frédo en été 2018 ? « Les fiancés ont choisi des amis proches comme témoins. Patrick Deroanne, fondateur de la société éponyme spécialisée dans la fourniture de matériel de bureau, sera celui de Frédéric Daerden » (La Meuse 28 juin 2018).
Et on apprendra par la bande que Frédo est preneur pour le corps de logis de la ferme…. Jusqu'en 2020, lorsqu'il s'installe dans une maison au centre de Liers.

Une ferme reprise dans l’Inventaire du Patrimoine Immobilier

Mais il y a plus. On ne signale au CCATM que cette ferme est reprise dans l’Inventaire du Patrimoine Immobilier (IPIC). A juste titre, puisque cette ferme a une histoire millénaire. Pour moi, c’est un élément essentiel dans ce permis. Ne fallait-il pas l’avis de l'Agence wallonne du Patrimoine (Awap) sur le projet ? Le 22 décembre 2018 j’envoie un mail à notre échevine Isabelle THOMSIN qui me
photo jean baens
répond : « Tout d’abord, une petite nuance, un bien repris à l’inventaire du patrimoine immobilier n’est pas ‘classé’ comme monument, on lui reconnaît simplement une valeur patrimoniale à tenter de préserver. Le service de l’Awap n’est pas automatiquement consulté. Mais la Ville a choisi de le faire.
Ce dernier a rendu  un avis défavorable en date du 12 novembre.
Toutefois après analyse, nous estimons que la réhabilitation de l’ancienne ferme Royer située en plein centre du noyau villageois de Liers en 25 logements améliorera la qualité de l’espace bâti existant tout en préservant le patrimoine existant. En effet, l’activité agricole n’est plus organisée sur le site de la ferme Royer depuis déjà plusieurs années.
La transformation et la réhabilitation de cette ancienne ferme, patrimoine d’exception inscrit à l’inventaire du patrimoine Wallon, permettra la sauvegarde d’un bien, témoin du passé, tout en lui redonnant une nouvelle fonction permettant sa pérennité. Il s’agit donc de la valorisation et de la sauvegarde d’un bâtiment à caractère patrimonial. L’espace existant permet cette transformation en ne dénaturant pas l’espace environnant. De plus, le projet prévoit l’aménagement d’espaces extérieurs qui tiennent compte des caractéristiques du lieu.
En effet, seuls des bâtiments venus se greffer au fil du temps et ne présentant pas un caractère architectural intéressant seront démolis et seront remplacés par de nouveaux bâtiments reconstituant la ferme en carré et préservant le caractère exceptionnel du lieu. Les nouveaux volumes proposent une architecture simple et modeste ne prenant pas le pas sur l’architecture des bâtiments existants, ils s’intègrent au bâti grâce au choix des volumétries et matériaux respectueux de l’existant et ils préservent le caractère homogène de la cour intérieure.
Les matériaux de façade, quant à eux, sont choisis de manière à s’harmoniser avec le paysage et le cadre bâti existant.
L’aile du corps de logis est préservée dans son intégralité ainsi que l’aile d’entrée visible depuis la rue des Prairies. Les éléments bâtis constituants le caractère exceptionnel et patrimonial du site ne sont en rien modifiés (chainage, pierre de taille, moellons…).

photo jean baens
Il faut également savoir que les propriétaires, Monsieur et Madame Royer, ne parvenaient pas à vendre le bien en raison de sa taille et de la vétusté des bâtiments et donc seul un projet de cette envergure permettra la sauvegarde de ce patrimoine en alliant, de manière judicieuse, la conservation du patrimoine existant et l’architecture contemporaine.

De plus, des bâtiments similaires existent sur l’entité de la Ville de Herstal et ceux-ci, n’ayant malheureusement pu être réhabilités, présentent un caractère de dégradation avancé et devront probablement être démolis faute d’avoir pu être transformés à temps.
La Ville peut s’écarter d’un avis extérieur moyennant motivation. Voici ce qui a motivé l’avis favorable conditionnel de la Ville pour ce projet. Cependant, le projet est actuellement soumis à l’avis conforme du fonctionnaire délégué du SPW. Son avis devra être respecté pour la décision finale sur le traitement de la demande.
J’espère avoir répondu à vos interrogations et vous présente mes meilleures salutations
Isabelle Thomsin. »

La ferme Royer dans l’inventaire du patrimoine immobilier

Herstal a été une de premières villes à voir une version digitalisé et actualisé de l’IPIC, l’inventaire du patrimoine immobilier. 120 biens s’il te plait. Herstal a même organisé il y a quelques années une expo pour fêter ça. Voici ce qu’il reprend sur cette ferme.
photo jean baens
« La ferme de l'Abbaye présente un plan en quadrilatère dont les parties les plus anciennes remontant à la 2e moitié du 16e siècle ont été complétées au début du 18e siècle et aux 19e et 20e siècles.
L'ensemble est bien représentatif de l'architecture rurale traditionnelle en Hesbaye liégeoise et les fonctions des ses différentes ailes sont encore clairement identifiables.
L'aile d'entrée est percée par un portail en anse de panier daté de 1819 à la clé. Vers la cour, la partie gauche de cette aile abrite une grange accessible par un haut portail cintré dont le claveau central est daté de 1577.
Au fond de la cour, le logis du début du 18e siècle est en briques et calcaire. Sa façade de deux niveaux est percée de deux travées de hautes baies à croisée et piédroits harpes, de part et d'autre d'une porte basse à linteau droit; perron reconstruit au 19e s. À gauche, sous une même bâtière d'éternit à coyaux, soutenue par des blochets, ajout postérieur d'une travée.
Les autres ailes abritant des étables et des bâtiments utilitaires remontent aux 19e et 20e siècles ».
Je suis content que la Ville a consulté l'Awap, et, bien sûr, La Ville peut s’écarter d’un avis extérieur moyennant motivation. Mais j'attends avec impatience l’avis du fonctionnaire délégué du SPW.

Seigneur de Herstal ou ‘avoué de Liers’ ?

Notre bourgmestre a donc voulu un moment s'sintaller dans le corps de logis ! Porter le titre de Seigneur de Herstal était peut-être un peu osé parce que Willem-Frederik d’Orange  de la maison royale des Pays-Bas porte cetitre? Avec la ferme il aurait pu porter le titre ‘avoué de Liers’. Ca remonte à 1012,  lorsque  l'empereur Henri Il alloua Liers à l'Abbaye bénédictine de Florennes, qui vendit trois siècles plus tard ses biens liersois au Chapitre Saint-Lambert qui désigna un avoué, un gérant en quelque sorte.
C’est Charlemagne qui désigna des avoués chargés de représenter l'évêque devant les tribunaux, et d'exercer les pouvoirs administratifs et judiciaires ainsi que de conduire auprès du souverain le contingent armé. C’est ainsi que le Vieux Voué Jean I, fut honoré chevalier à l'issue de la bataille de Vottem remportée le 19 juillet 1346 par les communiers liégeois, sur une armée de chevaliers de haute noblesse commandée par le Prince-évêque.
Avec l'effondrement de l'Etat carolingien l'avoué apparut surtout comme protecteur du domaine ecclésiastique sur lequel il exerçait un droit de tutelle qui le mettait en situation d'exercer les pires abus : toute action était bonne pour livrer au pillage les biens de l'église (J.L. Kupper. Op. cit. p 434 à 439)
Un titre a priori intéressant: une situation permettant d'exercer les pires abus et piller les biens de l'église.
La ferme a été expropriée et vendu comme ‘bien national’ en 1796.

La ferme est en zone agricole

Un autre aspect litigieux de ce permis d’urbanisme: la ferme est en zone agricole  sur le plan de secteur, et ces 25 logements ne ressemblent pas à des box de chevaux ou autre utilisation agricole. Lors de la présentation au CCATM on ne nous a pas dit ça. On peut certes en zone agricole avoir une ferme et des étables. Mais comment y justifier 25 logements ? L’intitulé du permis est à double fond : « transformation et réhabilitation de la ferme Royer ». Construire 25 logements à côté d’une ferme, est-ce toujours une transformation ? On m’a répondu qu’une demande de dérogation est en cours, et que si cette réponse serait négative, le permis serait nul et non avenu. Attendons voir.
Je reste quand même avec deux questions : comment éviter que ce genre de permis sont soumis au CCATM sans ces informations essentielles, afin qu’on puisse juger en connaissance de cause ? Etn’aurait-on pas pu demander une dérogation au plan de secteur, AVANT de demander un permis d’urbanisme ?
L’échevine Thomsin évoque « un nouveau projet de Schéma de développement territorial du Gouvernement wallon de juillet 2018 qui a comme objectif ‘la lutte contre l’étalement urbain et l’utilisation rationnelle des territoires, le développement socio-économique et de l’attractivité territoriale, la gestion qualitative du cadre de vie et la maîtrise de la mobilité’. Le projet favorise le renouvellement du bâti existant, en développant la création de logement dans les noyaux d’habitat existants, en préservant le patrimoine par sa réaffectation, en améliorant le cadre de vie par la création de logements de qualité, et s’inscrit entièrement dans les objectifs du Schéma de Développement Territorial ».
C’est un peu faible comme argumentation. Si on veut lutter contre l’étalement urbain, ne faudrait-il pas éviter de prendre à la légère les plans de secteur et, au moins, demander une dérogation avant de lancer des projets.
Avec ça la dernière ferme en activité à Liers disparait. Il est vrai que le fermier a déjà repris depuis quelques années une ferme à Verlaine et n’utilisait que les bâtiments que pour le stockage. Il a vendu pour sortir de l’indivision avec sa sœur. En plus, lors de la fusion des communes, on a coupé le village rural de Liers de ses champs, qui ont rejoint Juprelle. Certes, ces quelques hectares de terres agricoles sont enclavés entre le Ravel et la Chaussée Brunehaut. Mais je ne saurais me défaire de l’idée qu’il y a derrière tout ça une spéculation pour faire tomber le reste de ces terres agricoles en terrains constructibles. Et là, c’est le jackpot.

Une ZACC (Zone d’Aménagement Communal Concerté )

Dans un document de 1348 on retrouve la rue des Prairies qui débouchait sur un lieu-dit « devant l’Abbaye » et de là partait le sentier «Passay de l’Abbaye » vers Fexhe-Slins, disparu avec la gare de triage. Dans la zone dite "Devant l'Abbaye" un projet immobilier est lancé dans la ZACC (Zone d’Aménagement Communal Concerté ; jusqu’en 1999 cela s’appelait une zone d’extension d’habitat). On aménage dans le triangle formé par la rue Thonon, la rue Provinciale et la Chaussée Brunehaut la voirie pour 95 logements. C’était une zone vouée au pâturage, mais au fil du temps le site a été totalement enclavé. Cette parcelle agricole ne faisait pas l’objet d’un bail à ferme mais seulement d’une mise à disposition verbale à titre gratuit et précaire. Le site appartenait à un seul propriétaire ce qui a permis une démarche d’ensemble. Heureusement, parce qu’un projet morcelle aurait buté sur le problème d’accès : on y entre par la Chaussée Brunehault -11 mètres - et on sort par la rue Léopold Thonon - 8 mètres
Le rapport urbanistique et environnemental a exclu un accès par l’aire de parcage de l’AD Delhaize de la rue Provinciale, parce qu’en cul de sac, mais n’exclut pas un développement foncier après restructuration de cet espace et rationalisation, y compris le bâti le long de la route provinciale.
La viabilisation du site coûtéra à la société Batico 1.200.000 € soit +/- 35 € /m 2 ou 9.200 à 13.500 €  par  unité de logement.
Cliquez ici pour le rapport d’incidence. Le site de la ZACC est  traversé par un collecteur de l’AIDE  canalisant  un ancien ruisseau traversant le village dénommé « Rigole de Liers ».

60 nouveaux logements sociaux "cité des Prés"

Nous traversons la route provinciale via un piétonnier qui nous permet de traverser deux ronds points et une route très fréquentée.
Fin mars 2019 notre Société Régionale du Logement (SRL) a inauguré 60 logements rues de la Digue et de la Sucrerie (12 maisons 4 chambres, 1 appartement 1 chambre, 22 appartements 2 chambres et 25 appartements 3 chambre, dont 30 logements adaptables PMR)  Les premiers locataires arrivent.
Ca serait un beau projet d’une des plus importantes sociétés de logements sociaux de Wallonie, si l’autre côté de la médaille n’était pas la vente de la plupart des logements de la cité à côté.  
En 2010, un audit révèle que notre SRL doit 2 millions d’euros à la société wallonne du Logement. Dans le cadre de son redressement, la SRL de Herstal vend toutes les maisons d’avant 1950 (elle supprime aussi 30 emplois). Cela concerne une bonne partie de la Cité de Liers. 68 appartements à 2 chambres sont rénovés et isolés. Les 128 autres logements sont vendus. D’un côté les 60 logements de la nouvelle cité ; de l’autre la perte de 128 logements.
La nouvelle cité a une toute nouvelle philosophie de vie et de voisinage. Les architectes (Pierre Maes & associés et Contrast Architecture) mêlent habilement terrasses et jardins privatives et zones semi-publiques, sans oublier le potager communautaire ; une philosophie qui permet de préserver l’intimité des familles et leur permettre de mener une vie très conviviale.

Un beau maillage de sentiers

Tout autour de la nouvelle cité la pression citoyenne a permis une restauration des sentiers. Ce projet est parti du plan cadastral de 1973 : la ruelle du Bot qui se prolonge dans la ruelle de l’Enclos du Marly, la ruelle du Greffier, ainsi que la ruelle des Prés. S’y est ajouté une venelle depuis la ruelle du Bot au lotissement de la rue Tchérweus. Et cerise sur ce gateau : les passages dans la nouvelle cité.
Je ne saurais mieux faire que de reprendre l’appel du Comité : « Nous invitons tous les Liersois et autres promeneurs à utiliser ces divers sentiers sans modération. C’est gratuit, excellent pour la santé et cela permet à ceux-ci de conserver leur place dans l’histoire de notre patrimoine ».

Sources

Nous avons arpenté Liers lors d’une balade santé http://hachhachhh.blogspot.be/2015/03/balade-sante-liers-deux-ravels-et-un.html
Liers sur la carte Villaret de 1745



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