mardi 21 octobre 2014

Balade-santé de MPLP - Les baraques Albert à Herstal

Le deuxième dimanche du mois, à 10h, notre maison Médicale donne rendez-vous aux amateurs de la marche pour une balade santé. Le 9 novembre 2014 c'était sur le thème des baraques Albert. En 1918, après la première guerre mondiale, le Fonds Albert construit des milliers de logements préfabriqués pour les sinistrés. Dix ans plus tard l’administration communale de Herstal achète 322 de ces baraques, pour ‘résoudre’ la crise du logement créée par les démolitions de la FN pour agrandir ses ateliers et par l’Etat pour la rectification de la Meuse : une perte de 325 maisons. 
Presqu’un siècle  plus tard quelques dizaines de ces baraques sont toujours habitées… Ce patrimoine est l’indice d’une crise de logement permanente et centenaire. Une crise qui ne risque pas de s’arrêter. Notre balade suit un peu la trace de ces baraques

Description succincte de la balade

La Société Coopérative des Habitations à Bon Marché de Herstal édifia ses premières maisons rue Croix Jurlet et rue J-L Sauveur. En contournant ces premières maisons coopératives rue Croix Jurlet et rue J-L Sauveur, nous arrivons devant l’Athénée Royal de Herstal, de la main de l’architecte Joseph Moutschen. Nous faisons un petit crochet pour retrouver une première baraque Albert dans le sentier qui relie la rue C. Demblon et la place des
Volontaires de 1830. Un peu plus loin, Avenu d’Alès, la crèche communale, sous-produit de la grève des femmes de la FN. Avant d’entrer dans la rue Nozé encore une baraque. Nous débouchons dans la rue Bériwa. La rue Moulin Maisse : on a difficile de s’imaginer un paysage bucolique, avec son ruisseau qui alimentait 9 moulins. C’est pourquoi on l’appelait jadis «Rieu des Mollins». Avant de monter le Thier Wathy nous retrouvons à notre gauche, Rue de la Belle Vue, une série de baraques. Nous longeons le domaine de Bernalmont par la rue des petites Roches. et la rue campagne de la Banse.  Nous débouchons rue Rogivaux que nous remontons un peu pour rejoindre via la rue Lucien Colson le sentier 86  qui s’appelle ici sentier de Vottem. Nous traversons la rue Verte pour retrouver notre 86 sous l’appellation de rue de la Baume. Juste avant d’arriver rue sur les Thiers une baraque Albert se trouve sur notre gauche. Nous traversons la rue pour traverser un lotissement en cours et déboucher par un bout de sentier rue Emile Muraille qu’on traverse pour entrer dans le lotissement rue Bure Crèvecoeur. Nous  traversons la rue de l’Agriculture pour retrouver la rue du Pré des communes, haut lieu des baraques Albert. En débouchant des Prés des Communes nous sommes à cent mètres de notre point de départ.

Des baraques d'un camp pour refugiés belges en Hollande sont après la guerre reconstruites en Belgique sous le nom ‘Baraques Albert’.

On raconte qu’en 1918, le Fonds Albert construit des milliers de logements préfabriqués pour les sinistrés. Je viens d’apprendre d’où viennent ces maisons : elles ont été utilisées  pour loger des refugiés belges en Hollande. En août 1914 il y en a un million. En mai 1915 il en reste  105.000, chiffre qui se maintiendra jusqu’à la fin de la guerre. On les loge dans des camps. Voir mon blog http://hachhachhh.blogspot.be/2015/01/liege-dans-la-tourmente-les-refugies.html . A Uden qui acceuille 10.000 refugiés, on essaye une expérience ‘communiste’ basé sur l'économie distributive  de Edward Bellamy. Dans sa société idéale du XXe siècle il y a la carte de crédit. A Uden, les refugiés travaillent contre une rémunération en points. Le système de points a aussi été appliqué pour fabriquer des maisons démontables, financées par un don du gouvernement danois. Ces baraques du village Danois (Deense Dorp) à Nunspeet sont après la guerre démontées et reconstruites en Belgique sous le nom ‘Baraques Albert’. Ces baraques sont donc le fruit d’une initiative communiste, certes utopique. Albert se retournera dans sa tombe…. 

Le logement social : un accouchement difficile. Les maisons de la Société Coopérative rue Croix Jurlet et rue J-L Sauveur aux toits «à la Mansart ».

Chaque avancée du logement social a été le sous-produit d’une révolte. En 1886 Léopold II se prononce dans un discours du trône pour "la construction d’habitations ouvrières convenables", suite aux grèves insurrectionnelles, lancées d’ailleurs par un Herstalien, Edouard Wagener, cafetier au Rivage et président des la fédération liégeoise de l'Association Internationale des Travailleurs.
Le paternalisme dégouline de la loi de 1889 qui instaure des Comités de patronage des habitations ouvrières, censés exercer un contrôle permanent sur l’hygiène des habitations. Nous devons à ce comité un document-clef publié en 1909 par Ernest MAHAIM : « Enquête sur la situation hygiénique des habitations ouvrières dans la commune de Herstal ».
A la sortie de la première guerre mondiale, nous retrouvons la crise du logement au carré. 200.000 maisons sont détruites. Les révoltes et révolutions qui suivent la fin des hostilités font trembler la bourgeoisie. Elle concède le suffrage universel, et fait semblant de s’attaquer à la crise du logement…Des milliers de logements préfabriqués  sont construits par le Fonds Albert.
les premiers logements sociaux rue Croix Jurlet
En 1919 on crée la Société Nationale des Habitations et Logements à Bon Marché, pour faciliter l’acquisition individuelle. Réaction imprévue par le législateur : les ouvriers s’associent pour acheter des parts de coopérative. La filiale de la Société Nationale créé à Herstal en 1922 est une Société Coopérative (S.C. des Habitations à Bon Marché de Herstal et des Communes environantes).
Elle édifia ses premières maisons rue Croix Jurlet et rue J-L Sauveur (anciennement rue des Médecins), derrière la FN. Ces blocs de maisons sont toujours là et la construction a un certain charme : un bloc central avec une façade en fronton triangulaire et deux ailes flanqués de bâtiments aux toits «à la Mansart». L’unité architecturale des bâtiments est aujourd’hui un peu masquée par la ‘personnalisation’ des façades.

Au départ la coopérative y construit 46 logements dont deux magasins. Après on y ajoute entre 1927 et 1938 79 logements rue Célestin Demblon et rue du Trois Juin. De la même époque datent 178 maisons au quartier des Monts, le noyau original de la cité d’aujourd’hui.
L’élan de ces coopératives est brisé dans l’oeuf: le ministre du Travail de l'époque ne pouvait admettre que les fonds publics servent à l’autogestion des travailleurs et refuse dès  1922 l'agréation à toute nouvelle coopérative.

1928 - nos baraques Albert

Nos baraques Albert ne datent néanmoins pas de cette époque-là : l’administration communale de Herstal achète dix ans plus tard 322 baraques pour ‘résoudre’ la crise du logement créée par les démolitions pour agrandir ses ateliers de la FN et pour la rectification de la Meuse: une perte de 325 maisons.
A Herstal, on en comptait en 1982 encore une centaine. Trente ans plus tard la plupart sont toujours habitées. Nous les retrouverons tout le long de notre parcours. Ces bâtiments seront un peu les petits cailloux blancs  le long de notre parcours…
J’ai rencontré des propriétaires de ces baraques qui en étaient contents. Et la plupart ont, vu de l’extérieur, l’air bien entretenus. Il y a un hic : la prime d’assurance incendie est plus élevé parce que structure en bois. Et qu’on le tourne comme on veut : l’existence de ces baraques presqu’un siècle plus tard est un indice d’une crise de logement permanente et centenaire. Une crise qui ne risque pas de s’arrêter. Dans la situation actuelle ces baraques ne vont pas disparaitre bientôt !
construction de l'Athenée 1934
En contournant les premières maisons coopératives rue Croix Jurlet et rue J-L Sauveur, nous arrivons devant l’Athénée Royal de Herstal, de la main de l’architecte Joseph Moutschen. Celui-ci a marqué Herstal : la statue du roi Albert à l’entrée du canal, le Pont-barrage de Monsin, la Station de pompage n°1 à Herstal, c’est lui.
Il construit aussi le Palais des Fêtes (ex patinoire de Coronmeuse) pour l’Exposition internationale de l'Eau de 1939, avec son frère Jean Moutschen qui en assure le suivi.
Nous faisons un petit crochet pour retrouver une première baraque Albert dans le sentier qui relie la rue C. Demblon et la place des Volontaires de 1830. Encore pour un petit moment l’entrée de notre maison médicale se trouve dans ce sentier.
Un peu plus loin, Avenu d’Alès, la crèche communale, sous-produit de la grève des femmes de la FN, ‘à travail égal, salaire égal’, une première européenne. En 1966 l’usine emploie 13.000 personnes dont 4000 femmes presque toutes ouvrières. En février celles-ci partent en grève. Elles tiendront pendant 3 mois. La crêche applique une pédagogie progressiste développée par Emmi Pikler, une pédiatre hongroise qui dirige en 1946 un orphelinat à Budapest. Pour Emmi Pikler le bébé était un puissant acteur de son propre développement. Un nombre restreint d'adultes interviennent auprès d'un même groupe d'enfants, de leur arrivée jusqu'à leur départ.

Un chemin de fer, ça peut couper une ville en deux

Avant d’entrer dans la rue Nozé encore une baraque. Dans le terrain du coin, en contrebas, se trouvait le moulin Nozé qui a fonctionné jusqu’en 1914, à la vapeur… Le sentier des Meuniers partait du moulin Nozé pour traverser un charbonnage dans la rue Jean Lamoureux.
Nous passons en dessous du chemin de fer. Dans le talus du chemin de fer, une galerie créée pour évacuer les eaux d’une areine. Au départ on l’avait bouchée. L’eau s’était accumulé derrière le remblai et avait inondé le chantier.
Nous débouchons dans la rue Bériwa.
Pour permettre la construction de la rue J-B Clobert quelques maisons ont été expropriées de leur jardin.
A mi-chemin la rue Dronet, qui débouchait entre les numéros 197 et 199 de la rue Haute Préalle, mais qui est aujourd’hui une impasse suite à la construction du chemin de fer.

A hauteur du N°32 de la rue Bériwa débouchait la rue de Ruisseau, aujourd’hui en partie propriété privé, qui reliait la Bériwa à la rue Charles Martel. Cette rue enjambait à hauteur de la boulangerie Ghysens le Rieu. Cette boulangerie est un véritable monument ‘slow food’ et nous ferait oublier la disparition des moulins. Notre boulanger ne travaille plus la nuit, ce qui explique qu’il ouvre en après midi. Le meilleur pain de kilomètres à la ronde ! Et comme c'est l'automne, c’est le moment de déguster des douceurs telles que des bonshommes craquelin cannelle ou chocolat. Sur sa page facebook La liste de ses pains dont voici quelques exemples:
GRIS:
-L'épautre alias l'ardennais
-Germe de blé
-Toscan
-Rustique
-Potiron
-14 céréales
-L'orge
LES SAISONNIERS:
-Pomme châtaigne
-Noix
-Raisins noisettes
-Figues
-Brioché nature
-Brioché tomate
-Brioché épinard
La rue Moulin Maisse s’appelait au départ le sentier Camille et reliait le Bériwa à la Basse Préalle, au départ du moulin.
On a difficile de s’imaginer ici un paysage bucolique, avec son ruisseau (rieu, Rida) qui alimentait 9 moulins. C’est pourquoi on l’appelait jadis «Rieu des Mollins». Cette appellation est aujourd’hui sauvegardé dans le rue des Moulins qui monte vers Vottem.
Ce rieu était alimenté par deux branches: une dévalant de Vottem le long de ce qui est aujourd’hui la rue des Meuniers. Ce rieu passe aujourd’hui en dessous du terril de la Petite Bacnure. Notre médecin et conseiller communal Johan Vandepaer est encore intervenu il y a quelques années à propos d’une ancienne décharge en dessous de l’ancien Athenée de Vottem, aujourd’hui une résidence pour seniors. On mesure aujourd’hui toujours une pollution dans les eaux du ruisseau…
Une deuxième vient de Milmort et est encore à l’air libre au Patar. Au fil du temps ces ruisseaux ont été alimentés par des areines de toutes tailles, d’une buse à une galerie maçonnée. L’araine Marteaux se trouvait au pied de la colline.
Ces deux rieux se rejoignent à hauteur de la place Beck. Et se retrouvent sous une voûte dans le fond des jardins de la rue Basse Préalle. La ferme-chocolaterie Charlemagne était au départ un moulin.
L’appelation Charlemagne date du XVIII° siècle. La paroisse a été créée en 1856, dans une tentative désespérée de garder ces gueux de mineurs au sein de l’église. Un des premiers curés s’est efforcé d’interdire la fête de Saint Chäle. Le 28 janvier, un morceau de lard était enfilé sur l’épée de ce faux saint dans le choeur de l’église. Faux saint est exagéré : la fête est toujours reconnue dans le diocèse de Cologne. Mais le curé avait d’autres arguments canoniques pour interdire cette fête paienne…
Avec l’expansion des charbonages, le Rieu a été noirci par les lavages de charbon, au point que des riverains créaient des barrages pour récupérer le schlamm http://fr.wikipedia.org/wiki/Schlamm. (Musée Herstalien mars avril 1992 p.17) .
Ce rieu se séparait en deux au Bériwa. Le cours principal se retrouve en dessous de la rue Laixheau. En cas de grosses eaux une partie du débit passait dans le Faux Rieu.

Un faux rieu, une bure Foxhalle- Xhufnale, le passai de Foxhalle, un vélodrome

Permettez moi ici une petite digression sur le paysage ‘baigné’ par ces rieux. Ce Faux-Rieu était en période de basses eaux un véritable cloacque. On peut encore voir une baie rebouchée sur le viaduc du chemin de fer, ancien passage voûtée où coulait le faux rieu.
Ceci dit, ce petit ruisseau fantôme a quand même réussi au fil des siècles à accumuler un cône d’alluvions sur lequel a été construit du temps de Pépin une chapelle qui faisait concurrence à celle de Saint Lambert, sur la Légia. 
Le voûtage du faux rieu a été une véritable débâcle, tellement les travaux ont trainé en longueur, au point où il a donné lieu à l’émission d’une carte postale.
En contrebas de la Rue Charles Martel – nous n’allons pas jusque là - le bure Foxhalle- Xhufnale, d’une profondeur de 250 mètres, repris en 1875 par la Bacnure. Le sentier 121 dit ‘passai de Foxhalle’ deviendra en 1901 le rue Guillaume Delarge.
Entre le N° 30 et 50 de la rue Martel une briqueterie, aménagé en 1929 en vélodrome en terre battue.  La Feronnerie Serrure liégeoise s’y établit. Le bâtiment est à vendre.


Les 9 moulins à eau de Herstal

Le Moulin dit de Villers se situait à proximité du château du Patar. Ensuite, à hauteur du bassin d’orage, se situait un hameau ‘A la Fontaine’ où l’on avait avant la construction du chemin de fer installé un lavoir. Grossi par les eaux de la fontaine, le Rieu alimentait à hauteur du N°29 rue Pied du Bois Gilles le moulin Radoux. Au pont Taignon, face au café « Au Beau Marronnier », il actionnait le Moulin de Bois (sur le site de l’ancien paire de la Petite Bacnure). Là le Rieu était grossi par les eaux provenant des sources de Vottem, dans le domaine du château du Bouxthay, et de la plaine de Haren (devenu « plein hareng » au fil des erreurs de transcription) est un fond très humide et marécageux d’où surgissaient pas mal de sources. Je ne compte pas les moulins situé le long de cette vallée (appelée judicieusement rue des Meuniers). Un peu plus loin se trouvait le moulin Haribert à la ferme Charlemagne. Le Moulin Maisse se trouvait  +- à hauteur de la maison  N°86 de la rue Basse Préalle.
Le moulin Nozé était situé au coin des rues Nozé et Martin Herman. Il y avait une grande pierre gravé au millésime 1240 et un blason. Vers la fin du 19° siècle, le moulin maquait d’eau suite à l’exhaure des charbonnages et fonctionna à l’aide d’une machine à vapeur Thomson jusqu’en 1914. Il est démoli en 1934.

Le Thier Wathy et la  Rue de la Belle Vue


Avant de monter le Thier Wathy nous retrouvons à notre gauche, Rue de la Belle Vue, une série de baraques. Un peu plus loin, dans la rue Champs-des-Oiseaux, se trouve un bel exemple d’habitat ‘social’ typique du 19° siècle. Nous ne faisons pas le crochet par Là, mais à cette époque des rentiers, des commerçants, des patrons d’usine construisent quelques maisonnettes dans leurs cours ou dans leurs jardins. Cela s’appellait le caser, impasse, l’allée, la ruelle, la cour ou le carré. A Herstal un négociant M. Serwir-Simonon construit rue Champs-des-Oiseaux un ‘caser’ – 26 maisonnettes en quadrilatère. Le même négociant construit aussi l’Impasse Serwir, dans la rue Hayeneux, un véritable casse-tête pour les
un 'caser' rue Champ des oiseaux
architectes du plan de réhabilitation Hayeneux.
Nous longeons le domaine de Bernalmont par la rue des petites Roches. Dans la rue campagne de la Banse nous passons devant un glissement de terrain d’un terril en combustion. Avant d’arriver rue de la Bance, nous ssuivons sur une centaine de mètres le Ravel  de Liaison Meuse- Liers.
Nous débouchons rue Rogivaux que nous remontons un peu pour rejoindre via la rue Lucien Colson le sentier 86  qui s’appelle ici sentier de Vottem. Devant nous, le maillage avec le sentier de la rue Campagne de Rogivaux a en partie disparu. Du coté de la rue de l’Aunaye on peut rejoindre Vottem par le sentier Marnette qui retrouve à Vottem le Ravel.
A l’autre bout une partie du sentier 86 a disparu lors de l’aménagement des Hauts Sarts et s’arrête au Best  Western Post Hôtel.
Un tronçon est encore menacé suite aux lotissements entre les rues de Milmort et du Paradis.
Nous traversons la rue Verte pour retrouver notre 86 sous l’appellation de rue de la Baume. Sur notre droite une autre sorte de logement : les forains délogés dans le bas de Herstal pour la construction d’un hall omnisport y ont trouvé un terrain.  
rue du Pré des Communes
Juste avant d’arriver rue sur les Thiers une baraque Albert se trouve sur notre gauche. Nous traversons la rue. On ‘restaurera dans le lotissement encours un sentier presque disparu. Un autre bout de sentier débouche rue Emile Muraille et se prolonge dans le lotissement rue Bure Crèvecoeur. Nous  traversons la rue de l’Agriculture pour retrouver la rue du Pré des communes, haut lieu des baraques Albert, probablement parce qu’une partie de ces terrains de prés communs était encore propriété de la ville à cette époque.
En débouchant des Prés des Communes nous sommes à cent mètres de notre point de départ.

Sources

Musée Herstalien, mars avril 1992
SRL Herstal 17 ans
Emilienne Somers, sur les pas de Charlemagne, une balade dans Herstal
Historique du logement social à Herstal - Les baraques Albert au patrimoine mondial de l’Unesco ? http://hachhachhh.blogspot.be/2013/12/historique-du-logement-social-herstal.html


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